Résumé E33, S1 Bété Bété

les legs du sang

Salut tout le monde,
c'est Aïda de la Série Sénégalaise ! Je suis ravie de vous retrouver aujourd'hui pour vous plonger dans un petit résumé captivant de l’épisode 33 de la saison 1 de notre série nationale adorée, Bété Bété.


Gnounn ayy Bété Bété Lagnou Bou Néekkoul Pure Sang do Rakh Sougnou Dérééett

Dieynaba Tall exprime son désir que Makhou reste encore un peu, mais Makhou insiste sur le fait qu'il doit rentrer chez lui car il a passé la nuit et n'a pas de vêtements de rechange. Dieynaba lui suggère de ramener une valise la prochaine fois pour éviter ce problème, mais Makhou trouve cette idée excessive. Dieynaba avoue qu'elle se sent seule et veut que Makhou lui tienne compagnie. Makhou promet de revenir bientôt, et malgré les assurances de Dieynaba qui veut des détails sur son retour, il confirme qu'il reviendra rapidement. Fatma Thiam, les rejoint brièvement, et Makhou lui explique qu'il doit rentrer pour se changer mais reviendra bientôt. 

Fatma Thiam découvre que Makhou a passé la nuit chez Dieynaba Tall et exprime sa désapprobation, trouvant cette situation inacceptable. Elle confronte Dieynaba, lui demandant des explications. Dieynaba répond calmement que Makhou est son mari et qu'il est normal qu'il passe la nuit chez elle, rappelant même qu'elle est enceinte de lui. Fatma, outrée, menace de mettre fin à leur mariage, considérant cet acte comme un affront et une conspiration derrière son dos. Dieynaba, fermement, demande à sa mère de quitter sa chambre et insiste sur son droit de décider de sa relation avec Makhou. Fatma, furieuse, promet de ne plus permettre à Makhou de passer la nuit chez elle, tandis que Dieynaba affirme son intention de prendre ses responsabilités et de faire ce qu'elle juge bon pour son mariage.

Dans ce dialogue familial, plusieurs tensions et préoccupations sont exprimées. Khoudia Thiam cherche désespérément Ndiaga Thiam, s'inquiétant de savoir s'il a pris son petit-déjeuner avant de partir à l'atelier. Malgré ses supplications, Ndiaga insiste qu'il mangera à l'atelier et qu'il n'a pas faim pour le moment. Khoudia, préoccupée par la santé de son mari, le presse de manger quelque chose avant de partir. La conversation se tourne ensuite vers Diouma, qui s'enferme dans sa chambre et refuse de sortir. Ndiaga, visiblement contrarié par cette situation, demande des explications et s'inquiète de savoir si elle mange au moins un peu. Khoudia essaie de rassurer Ndiaga en expliquant que Diouma est perturbée par son attitude distante, mais qu'elle va bien physiquement. Daba Thiam, observant la scène, fait des commentaires sur l'amour persistant de Khoudia pour Ndiaga, malgré les années et les tensions. Elle exprime son étonnement devant la dévotion de sa mère, tout en se moquant gentiment de la situation. 

Dans ce dialogue, Makhou se retrouve confronté à sa mère, Mareme Sall, qui est furieuse de découvrir qu'il a passé la nuit chez Dieynaba, une femme appartenant à une caste qu'elle méprise, les "Teugues". Mareme est outrée par ce qu'elle perçoit comme une humiliation et insiste sur l'importance des traditions de caste, exigeant que Makhou obéisse à ses ordres. Makhou tente de raisonner sa mère en lui demandant d'oublier ces distinctions de caste, soulignant que Dieynaba est sa femme et qu'elle est enceinte de lui. Cependant, Mareme est inflexible et menace violemment son fils s'il passe une autre nuit là-bas. Alkaly, intervient et confirme avec Makhou qu'il a effectivement passé la nuit chez sa femme. Makhou explique qu'il est resté parce que Dieynaba se sentait seule et que même "papa" Makhoudia, le père de Dieynaba, l'a encouragé à rester chaque fois qu'il le souhaite. 

Dans ce dialogue, Diouma Thiam reste cloîtrée dans sa chambre, refusant de sortir ou de voir quiconque, même sa mère, Daba Thiam. Daba s'inquiète pour sa fille et essaie de comprendre la raison de son isolement. Diouma explique que les paroles de son grand-père l'ont profondément blessée et qu'elle se sent délaissée par lui, car il ne lui a pas adressé la parole depuis deux jours. Daba, tentant de réconforter sa fille, lui rappelle que même elle a subi les remontrances du grand-père malgré son innocence. Elle encourage Diouma à oublier les paroles du grand-père, affirmant qu'il était simplement en colère et qu'il reviendra à de meilleurs sentiments. Daba insiste sur le fait que Diouma est le seul et unique amour de son grand-père et qu'il ne voudrait jamais la voir en colère contre lui. En fin de compte, Daba exhorte Diouma à se lever, l'encourageant à sortir de sa chambre et à ne plus laisser la colère de son grand-père affecter son bien-être.

Alkaly et Makhou discutent des conséquences de la nuit que Makhou a passée chez sa femme Dieynaba. Alkaly exprime son désaccord avec la décision de Makhou, bien que Makhoudia ait encouragé Makhou à rester auprès de sa femme. Alkaly souligne que, même si Makhou doit prendre ses responsabilités, il aurait dû refuser de passer la nuit là-bas par respect pour sa mère et les traditions familiales. Makhou défend sa décision en expliquant qu'il voulait être présent pour sa femme enceinte et leur enfant à naître, estimant que c'était sa responsabilité. Alkaly reconnaît cela, mais insiste que ce n'est pas une raison suffisante pour passer la nuit chez sa belle-famille. Il conseille plutôt à Makhou de ramener sa femme dans la maison familiale, arguant que c'est une solution plus durable et respectueuse des attentes familiales. Alkaly met en garde Makhou sur les potentielles tensions futures avec sa belle-famille, malgré leur accueil actuel. Makhou, bien que comprenant les conseils d'Alkaly, reste centré sur le bien-être de sa femme, affirmant que la décision de revenir doit venir d'elle. Alkaly termine en soulignant que les tempéraments de sa tante Fatim Thiam et de sa mère compliquent la situation, mais encourage Makhou à prendre des mesures pour assurer la stabilité et le bonheur de sa famille en ramenant sa femme chez eux. Makhou accepte les conseils et Alkaly part à l'intérieur.

Dans cette scène riche en conflits et émotions, Bassine Thiam et Amy Mbaye discutent de la récente altercation d'Amy avec Oumou Khairy, une femme perçue comme une menace pour son mariage. Amy se justifie en disant qu'elle a réagi pour ne pas paraître faible, mais Bassine la réprimande, insistant qu'elle aurait dû réfléchir avant d'agir. Bassine la met en garde contre Oumou Khairy, qui pourrait utiliser cette situation pour éloigner Makhoudia, le mari d'Amy, d'elle. Amy révèle que Makhoudia a déjà été influencé par Oumou Khairy, ayant même menacé de la répudier, elle et Fatma Thiam, lors d'une précédente confrontation. Elle exprime son désespoir face à la distance croissante de Makhoudia, qui ne la touche plus et ne mange même pas quand il est avec elle. Bassine la critique pour avoir laissé la situation dégénérer et l'exhorte à être plus douce et attentionnée envers son mari pour éviter qu'il ne se tourne vers Oumou Khairy. Le dialogue se tourne ensuite vers Dieynaba, dont l'absence est notée mais non résolue. Amy exprime son désintérêt pour les affaires de Dieynaba, soulignant qu'elle a déjà assez de problèmes personnels. Enfin, Bassine raconte une autre dispute dramatique qui a eu lieu chez Marème Sall, impliquant Ndiaga Thiam. Cette dispute a été si intense que Ndiaga a tiré une balle, ce qui a choqué tous les témoins. Amy interroge Bassine sur sa présence lors de cet incident, révélant des tensions sous-jacentes et des soupçons entre elles.

Marème Sall rend visite à son amie Aissata Kane, qui lui ouvre la porte en exprimant sa surprise et son plaisir de la revoir. Elles échangent des compliments et partagent leur manque l'une de l'autre. La conversation prend rapidement une tournure sérieuse lorsque Marème exprime sa colère contre Salimata, sa fille, qui sort avec un « Guéweul » (percussionniste de caste inférieure). Marème raconte comment elle a surpris Salimata dans sa maison, assise sur les genoux de ce jeune homme aux tatouages et dreadlocks. Marème, furieuse, les a chassés de la maison, mais le garçon a osé appeler Salimata "bébé" devant elle, ce qui l'a profondément blessée. Aissata est choquée et furieuse en apprenant cela. Elle blâme Marème pour ne pas avoir mieux surveillé Salimata et pour avoir permis cette relation. Marème se défend en disant qu'elle a ses propres problèmes et qu'elle ne peut pas tout gérer, surtout en l'absence fréquente d'Aïssata, qui est toujours en voyage. Aissata, refusant d'accepter la relation de Salimata avec un « Guéweul », promet de s'en occuper elle-même, affirmant qu'elle préfère mourir plutôt que d'accepter un tel gendre. Marème mentionne également un autre problème : son fils a épousé une « Teugue » (autre caste différente) et celle-ci est enceinte. Aissata est encore plus choquée et craint que si l'enfant est une fille, elle portera le nom de Marème, ce qui serait insupportable pour elle. La scène se termine sur une note de tension, avec Aissata déterminée à mettre fin à ces relations et Marème exprimant son sentiment d'être incomprise et non soutenue par son amie. 

Kheucha et son père discutent dans une atmosphère tendue. Le père de Kheucha remarque que son fils n'est pas prêt à partir et s'enquiert de la situation. Kheucha, visiblement déprimé, confesse qu'il a le cœur brisé, ce qui surprend son père. Kheucha avoue qu'il a perdu du poids, qu'il n'arrive plus à manger ni à prendre soin de lui. Son père, réalisant que son fils est amoureux, l'encourage à parler à la fille en question. Kheucha raconte comment il avait emmené la fille dans un appartement et qu'il a tenté de s'approcher d'elle, mais elle s'est enfuie. Le père, agréablement surpris par la réaction de la fille, la considère comme une perle rare, car elle a respecté ses limites et suggère à Kheucha de la rejoindre. Cependant, Kheucha hésite à cause d'un autre problème : la fille est la sœur de son ami Makhou, et il craint que cela complique les choses. Son père lui conseille de ne pas impliquer Makhou dans sa relation et de résoudre ses propres problèmes de manière indépendante. Finalement, le père, sentant que la communication est cruciale dans toute relation, encourage son fils à parler à la fille et s'en va, laissant Kheucha à ses réflexions.

Mael Thiam reproche à Diouma Thiam de ne pas l'avoir informé d'un incident impliquant leur grand-père en son absence. Il se sent déçu de ne pas avoir été présent pour intervenir. Mael exprime son soutien inconditionnel envers leur grand-père et accuse Diouma de trahison pour avoir pris la défense de leur père lors de l'incident. Il menace même de se venger avec l'aide de ses amis. Diouma, exaspérée par les accusations de Mael, lui demande de se taire et lui pose une question. Elle explique que son intervention était motivée par la volonté d'éviter que leur grand-père finisse en prison pour avoir agressé leur père. Mael reconnaît finalement son erreur et accepte la justesse des actions de Diouma. Diouma demande à Maël de l'aider à se réconcilier avec leur grand-père, mais Mael refuse, bien qu'il promette de lui parler. La conversation dévie ensuite vers une mention de Kheucha, où Diouma confesse avoir ignoré un appel de sa part. Mael réagit en l'encourageant à jouer avec les émotions de Kheucha pour le rendre jaloux. Malgré son refus initial, Diouma reste hésitante. La conversation se termine sur une note plus légère alors qu'ils échangent des banalités sur la bouillie préparée par leur grand-mère. Cependant, un message vocal de Kheucha invite Diouma à le rejoindre à un endroit à 21h, ce qui déclenche une nouvelle tension entre les deux. Mael menace de se battre si Diouma sort pour la rencontrer, mais elle reste indécise.

Oumou Khairy exprime sa peine à Makhoudia au sujet de sa fille, qu'elle considère comme la cause de tous leurs problèmes. Elle évoque les erreurs qu'elle a commises dans son éducation, notamment en l'envoyant à l'étranger et en laissant Marème Sall influencer sa vie. Makhoudia, en retour, admet que des erreurs ont été commises, notamment en négligeant la présence de Mame Dior et en lui permettant de fréquenter Marème Sall. Il conseille à Oumou Khairy de ne pas renvoyer sa fille mais plutôt de lui offrir une présence parentale plus affirmée. Il suggère également qu'Oumou Khairy a besoin d'un partenaire masculin dans sa vie pour aider dans l'éducation de sa fille. Oumou Khairy concède que la présence d'un homme serait bénéfique mais affirme qu'elle attend un homme qui correspond à ses critères moraux et responsables. Makhoudia l'encourage à ne pas attendre trop longtemps pour trouver cet homme idéal.

Aissata Kane se met en colère contre Chacha, accusée de sortir avec un "Guéweul". Elle exprime son dégoût et sa colère envers Chacha, affirmant qu'elle la tuera avant de laisser cette relation se poursuivre. Elle menace de la tuer et de l'enterrer vivante, déclarant qu'elle ne laissera jamais Chacha souiller leur lignée. Le père de Chacha intervient, tentant de calmer la situation en soutenant Aissata Kane dans sa désapprobation de la relation de Chacha avec un "Guéweul". Il menace également Chacha et exprime son dégoût envers elle. Chacha tente de justifier son choix en soulignant que sa mère et son père ne sont pas heureux malgré leur appartenance à la même caste. Cependant, cela ne fait qu'aggraver la situation. La confrontation se termine avec Aissata Kane exprimant son désespoir et sa colère envers Chacha, tandis que le père de Chacha réaffirme son désaccord avec cette relation.

Retrouvez l’intégralité de l’épisode 33 ci-dessous :

Suivez-nous également sur twitter : https://twitter.com/Aida_Serie_SN

Aidez à autonomiser les femmes et les jeunes filles !

Vous avez le pouvoir de changer des vies ! Envoyez vos dons au 775592383 via Wave ou Orange Money. Chaque contribution compte et nous rapproche de notre objectif.

Comment ça marche ?

À chaque fois que nous atteignons la somme de 50 000 FCFA, nous reverserons cet argent à une jeune fille ou femme en situation précaire.

Vos dons serviront à leur autonomisation, en leur offrant des revenus ou une formation professionnelle, notamment dans la transformation et d'autres domaines.

Participez dès maintenant !

Faites un don via Wave ou Orange Money au 77 559 23 83.

Contribuez à créer un avenir meilleur pour les femmes et les jeunes filles.

Chaque geste compte. Ensemble, faisons la différence !

Plus d’infos sur : https://avise.sn/